Palenque

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    Une nuit pour le moins laborieuse dans le bus avec un conducteur qui s'était décidé à battre le record du monde de "clim poussée à fond". Du coup, une température qui dépasse à peine le zéro degré Farenheit. Ajoutons à cela des suspensions dignes de la Fiat 509 de 1925 de Gaston Lagaffe alors que nous parcourons des routes sinueuses de montagne, le tout entrecoupé de barrages militaires, et l’on peut imaginer que dormir n’est a priori pas chose aisée.

Cela dit, nous n'en mourons pas et nous arrivons finalement, plus fatigué que si nous avions fait le trajet à pieds, à Palenque vers les 7h30. Achat de quelques provisions et dépôt de nos tonnes de bagages à l’hôtel (200$ pesos les deux nuits sans négocier) et départ vers la forêt vierge et ses ruines…

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Un petit commentaire après cette série de photos en vrac et sans commentaires ? Eh bien oui, ça valait vraiment le coup de venir… Le décor est tout de même pas le même que le bitume de Teotihuacan !

La visite est censée prendre quatre heures mais non ne nous contentons pas que du trajet conseillé et nous amusons à emprunter les sentiers à peine tracés vers les ruines les moins connues, souvent protégée d’un périmètre de sécurité car pas encore fouillée en détail. Apercevoir ces bâtiments en ruine entre la verdure équatoriale locale nous porte à nous imaginer dans la peau d’un Indiana Jones ou autre aventurier.

Le soir, nuit dans un lit, ça fait du bien de pouvoir dormir pour de vrai.

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